09 mars 2011
Communiqué de presse

Virtualisation Acronis met en garde sur les défis de la prochaine étape Les résultats du classement Global Disaster Recovery Index d'Acronis mettent en lumière les défis que posent les environnements hybrides

Le 9 mars 2011 - Acronis, un fournisseur leader de solutions, faciles à utiliser, de sauvegarde et de sécurité pour environnements physiques, virtuels et de cloud computing, met en garde les PME sur les défis de la prochaine étape de la virtualisation ; notamment sur les difficultés de sauvegarde, de restauration et de migration en environnements physiques, virtuels et de cloud computing.

Cette mise en garde émane des résultats du classement Global Disaster Recovery Index d'Acronis, récemment publié, dévoilant que 73% des PME à travers le monde s'accordent à dire que la virtualisation a modifié intégralement ou en partie leur façon de gérer la sauvegarde et la reprise d'activité après sinistre[1]. La consolidation des serveurs et la réduction des coûts avaient dopé le lancement de la virtualisation, mais la deuxième étape d'adoption de la virtualisation s'annonce plus complexe dans la mesure où les utilisateurs ont bien des difficultés à adapter leurs procédures traditionnelles de sauvegarde et de reprise d'activité dans un environnement devenu « hybride ».

« La première vague d'adoption de la virtualisation des serveurs et des postes de travail n'avait rien à voir avec la sauvegarde ; elle était surtout motivée par la réduction des coûts. Aujourd'hui, à mesure que la virtualisation se développe, on s'aperçoit que les solutions traditionnelles de sauvegarde de serveurs physiques ne conviennent pas à la sauvegarde des machines virtuelles. La plupart sont basées sur des agents ; ce qui veut dire qu'un agent doit être installé sur chaque machine virtuelle et qu'il consommera par conséquent ses précieuses ressources. Le lancement simultané de sauvegardes basées sur des agents peut entraîner de graves dysfonctionnements des machines virtuelles, voire une panne complète de l'hôte physique sous-jacent. La prochaine étape de virtualisation doit intégrer les meilleures pratiques de sauvegarde, mises en œuvre pour les environnements hybrides », a expliqué David Junca, Directeur Général d'Acronis en Europe du Sud.

Les logiciels basés sur des agents ont été adoptés parce qu'ils offrent certaines fonctionnalités requises pour la sauvegarde et la restauration en environnement virtuel. Toutefois, ces solutions de contournement se sont révélées difficiles à implémenter, inefficaces et onéreuses dans le cadre des programmes de virtualisation. Ces problèmes, auxquels s'ajoute la complexité de la gestion des données en environnement hybride (physique, virtuel et cloud), peuvent constituer un frein à l'adoption de la prochaine étape de la virtualisation.

Pour aider les entreprises à tirer le meilleur parti de la prochaine étape de la virtualisation, Acronis préconise les comportements suivants aux responsables informatiques qui gèrent la sauvegarde et la restauration en environnements virtuels :

· Pour parachever les efforts de virtualisation, il est indispensable de déployer une stratégie de sauvegarde et de reprise d'activité après sinistre aussi robuste que celle mise en œuvre pour les serveurs physiques, surtout si la machine virtuelle supporte une application de production.

· Pour atteindre les objectifs de point de restauration (RPO) les plus bas et les objectifs de temps de restauration (RTO) les plus rapides, chaque machine virtuelle doit être sauvegardée de façon indépendante et régulièrement actualisée. Cela permet d'obtenir le délai le plus court possible entre la dernière sauvegarde et l'état actuel du serveur de production.

· Les sauvegardes basées sur une image permettent d'effectuer des restaurations rapides dans le cloud. La restauration basée sur une image restaure intégralement la machine virtuelle, y compris le système d'exploitation invité et ses paramètres de configuration. Les sauvegardes basées sur les fichiers ou les blocs ne restaurent que les données. Pour effectuer une restauration basée sur les fichiers ou les blocs, la machine virtuelle doit être reconfigurée et réimportée dans le cloud avant de pouvoir restaurer les données et de rétablir l'accès à la machine virtuelle. Pour éviter cela, il suffit de réaliser une image système de la machine virtuelle complète et de l'utiliser comme une machine virtuelle de secours, prête à l'emploi.

· Utiliser la technologie de sauvegarde des serveurs virtuels qui, à l'origine, était conçue pour fonctionner sans agent. Au lieu de nécessiter un agent de sauvegarde sur chaque machine virtuelle ou un serveur proxy onéreux doté d'un espace spécifique pour les instantanés, certains logiciels ne requièrent qu'un seul agent par hôte physique, supportant tous les serveurs virtuels de cet hôte.

· Les règles qui s'appliquent à l'environnement physique doivent également s'appliquer à l'environnement virtuel. Si vous sauvegardez vos données physiques dans le cloud, pourquoi ne pas y sauvegarder également vos machines virtuelles afin de tirer parti d'une sauvegarde hors site à moindre coût.

Acronis vous propose le livre blanc « Confortez vos projets de virtualisation ». Pour le télécharger, accédez à l'adresse suivante : http://www.acronis.fr/resources/wp/371.html

[1] Classement Global Disaster Recovery Index d'Acronis réalisé conjointement avec Ponemon Institute, en janvier 2011, auprès de 3 000 entreprises (de moins de 1 000 employés).




À propos d'Acronis :

Acronis est une entreprise de cyberprotection mondiale qui propose cybersécurité, protection des données et gestion des terminaux nativement intégrées pour les fournisseurs de services managés (MSP), les PME et les services informatiques des grandes entreprises. Les solutions Acronis sont conçues pour identifier les cybermenaces modernes, les prévenir, les détecter et agir en conséquence, et pour corriger et restaurer les systèmes, avec un temps d'arrêt minimal, de façon à garantir l'intégrité des données et la continuité de l'activité. La solution de sécurité Acronis est la plus complète du marché pour les MSP en réponse à la diversité des besoins des environnements informatiques distribués.

Société suisse fondée à Singapour en 2003, Acronis possède 15 bureaux dans le monde et emploie des collaborateurs dans plus de 50 pays. Acronis Cyber Protect est disponible en 26 langues et dans 150 pays. Elle est utilisée par plus de 20.000 fournisseurs de services pour protéger plus de 750,000 entreprises. Pour en savoir plus, consultez le site www.acronis.com.
Contacts presse:
Katya Turtseva
VP of Communications