24 juillet 2012
Communiqué de presse

Plus de la moitié des organismes de santé sont inquiets quant à l’efficacité de leur Plan de Reprise d’Activité après un crash

Le manque de ressources et de budget alloués aux infrastructures informatiques mettent les données en danger.

Paris le 24 Juillet 2012 - Le Global Disaster Recovery Index 2012 d'Acronis a révélé que malgré les bouleversements politiques, économiques et environnementales de ces 12 derniers mois, plus de la moitié (55%) des organismes de santé n'ont toujours pas confiance dans leur capacité à retrouver toutes leurs données après un crash informatique, avec un tiers (33%) d'entre eux confessant ne pas pouvoir récupérer leurs données rapidement, et plus de 42% avouant qu'ils subiraient des arrêts de travail conséquents. Il est clair que si de telles pertes de données venaient à se produire, la vie des patients pourrait être mise en danger !

L'étude a aussi mis en avant que le climat économique austère mettait les départements informatiques sous grosse pression. Un organisme de santé sur cinq (22%) a rapporté que le manque de ressources informatiques était l'un des plus gros challenges à relever pour assurer la sauvegarde et la récupération des données en cas de crash informatique. L'étude a aussi révélé que le secteur de la santé était celui qui allouait le moins de budget à son PRA (Plan de Reprise d'Activité), comparé aux autres secteurs tels que le secteur public ou encore celui de la finance. Plus d'un tiers (34%) ont même admis qu'ils n'avaient aucun budget dédié à la sauvegarde ou à la récupération des données en 2011.

La grande majorité (84%) des organismes de santé ont adopté la virtualisation grâce notamment aux économies qu'elle leur permet de faire. 29% admettent également avoir choisi cette solution pour augmenter leur efficacité. Un sur cinq (27%) ont déjà virtualisé plus de 50% de leurs serveurs. Néanmoins, 2 sur 5 (18%) reconnaissent ne pas sauvegarder leurs serveurs virtuels aussi souvent que leurs environnements physiques, mettant ainsi leurs données en danger. Deux tiers (65%) ne font au mieux qu'une sauvegarde hebdomadaire de leurs serveurs, voire moins. Ceci peut-être attribué au fait que plus de la moitié de ces organismes avouent utiliser des solutions différentes.

Avec l'arrivée du Cloud computing au sein des infrastructures informatiques, il semble que les choses deviennent encore plus. Grâce aux économies que cette technologie offre, le secteur de la santé est l'un des secteurs à faire un très bon accueil à ces solutions avec un tiers (33%) du secteur projetant, pour les prochaines années, de baser dans un environnement cloud 50% de son infrastructure informatique.

Comme d'autres secteurs, les organismes de santé ont beaucoup de difficultés à gérer leurs données dans un environnement hybride. 36% utilisent actuellement 3 solutions ou plus pour sauvegarder leurs données. La majorité (73%) est d'accord pour dire qu'une solution facile à utiliser combinant la protection physique, virtuelle et cloud des données, les aiderait à améliorer leur sauvegarde et la récupération de leurs données en cas de crash.

« Parce qu'ils gèrent des données très sensibles, le secteur de la santé est encadré par des réglementations et des normes strictes. Des données telles que les dossiers des patients doivent être gardées dans des milieux sécurisés et sur le long terme. » nous dit Isabelle Delcuvellerie, Country Manager France et Méditerranée chez Acronis. « Les organismes de ce secteur doivent gérer beaucoup de pression pour réduire les coûts tout en maintenant le même niveau de protection des données. Il est clair, en regardant les résultats de l'étude, qu'ils sont toujours à la recherche d'une solution qui pourrait leur permettre de faire tout cela efficacement sans pour autant laisser aller la qualité de leurs sauvegardes et de leur processus de récupération de données. Les nouvelles technologies, telles que le cloud et la virtualisation peuvent les aider à faire baisser la pression, mais ils ont besoin de s'assurer qu'ils consolident et centralisent leur sauvegarde et leur processus de récupération des données. »

Protocole de l'étude:

L'étude a été menée par Ponemon Institute dans 18 pays entre Septembre et Octobre 2011. Plus de 6 000 professionnels de l'informatique ont été interrogés dans des organismes de moins de 1000 personnes. Les détails sur comment l'index a été calculé et les résultats de chaque pays peuvent être trouvés ici :




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